Le dynamisme démographique à venir de l’agglomération amène le territoire à devoir se doter de nouveaux équipements de santé dont la plateforme public-privé de Melun est le projet phare. L’augmentation de la demande de soins commande de renforcer certains secteurs dès aujourd’hui et cela bien au-delà du seul remplacement des départs.

Si la ville est plutôt bien dotée en médecins spécialisés, la proportion de ceux ayant plus de 55 ans est très importante et amène à imaginer un renouvellement générationnel. C’est particulièrement vrai en dermatologie, oto-laryngologie et gynécologie. Pour ce qui est des médecins généralistes, la ville est sous dotée par rapport à la moyenne départementale.
Des besoins se font aussi jour pour les professions paramédicales puisqu’à l’exception de l’orthoptie, la ville est en deçà de la densité moyenne en Seine-et-Marne et plus encore de celle de la région Ile-de-France. À la vue de ces éléments, il existe des potentialités d’installation immédiates ou à court terme pour de nombreux professionnels de santé.

Dammarie-les-Lys (20 262 habitants), encadrée par la Seine et la forêt de Fontainebleau, jouit d’un cadre de vie particulièrement agréable. Son territoire est particulièrement marqué par la présence d’espaces naturels puisqu’au-delà des bois environnants et des bords de Seine, les parcs communaux couvrent 50 % de sa superficie.
La commune dispose de nombreux équipements culturels et sportifs (salles de spectacles, lieu d’expositions, médiathèque, centre des musiques Didier Lockwood, piscine, patinoire…) et offre des services de qualité aux habitants, pour faciliter leur vie quotidienne : accueils périscolaires, services d’aide à la personne, multi-accueil, transports pour les seniors…
L’attractivité du territoire dammarien se renforce au fil des ans grâce à l’achèvement d’un Programme de Rénovation Urbaine parmi les plus importants de France, la mise en œuvre de projets structurants comme La Cartonnerie, complexe de loisirs unique dans la région, et avec la réflexion en cours sur l’aménagement du clos Saint Louis (éco-quartier sur 130 hectares).

Octobre 2014